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jeudi 9 novembre 2017
Merci de nous signaler toute information sur d’éventuelles présences de flics ou d’engins de travaux autour de la ZAD au numéro d’urgence : 06 43 92 07 01 (pour contact presse uniquement : 06 95 06 81 49). Nous faisons appel à votre vigilance.
Les infos d’urgence qui tournent sur les réseaux sociaux ne sont pas toujours confirmées. Restons vigilants, mais évitons de crier au loup ! Ca nous permettra de réagir rapidement. Avant de faire tourner une info, merci de contacter par mail ou téléphone la ZAD et/ou l’ACIPA pour vérification. Si nous estimons que la menace est immminente et réelle, nous le ferons savoir par un message commun sur les diverses listes, sur le site de la ZAD et sur celui de l’ACIPA. En attendant, nous invitons chacun à prendre avec recul les messages et rumeurs circulent par ailleurs et par d’autres biais.
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Msg du groupe "PATATES" La culture collective de pommes de terre sur la ZAD a permis de produire environ 15 T cette année. Il y a donc de quoi en manger tout l’hiver, mais on l’avait aussi dimensionné ainsi pour que les comités de soutien, les personnes du mouvement, les cantines de lutte, d’autres lieux en lutte, etc., puissent en profiter. Donc n’hésitez pas à venir vous servir, et à faire tourner le mot. Les patates sont stockées au Rosier, dans le petit hangar, avec un message explicatif sur quels sacs prendre et une caisse "prix libre" pour financer les cultures de Sème ta ZAD.
Et ici en prime quelques images de la récolte de cette année : http://zad.nadir.org/spip.php?article4725
Et vive les frites ! Le groupe patates
on nous envoie des messages pour prevenir de controles de flics un peu partout autour de la zone, surement due à une fete qui a eu lieu pas tres loin de la Noe Verte.
Le collectif « GCO non merci » a piblié une tribune Et si on sortait des postures pour régler les problèmes concrets ?
Mardi à Saint Victor, 200 personnes étaient réunies derrière une muraille de paille pour refuser l’enquête publique. 14 heure le tocsin a retenti annonçant l’arrivée du commissaire enquêteur, qui est repoussé jusqu’à sa voiture sous les chants. Dans la foulée, c’est les dossiers de l’enquête qui sont sortis de la mairie et jetés dans les flammes. La maquette du projet est amenée aux poubelles du village afin d’enterrer le projet dans le seul endroit qui semble être sa place.