Depuis le début du mouvement d’occupation sur la ZAD, s’élabore progressivement une force matérielle. Ces dernières années, notre ancrage sur le territoire a gagné en ampleur. De nombreux lieux se sont construits, de nombreux collectifs se sont installés et vivent grâce à l’autoproduction, à la récup’, aux dons, aux vols et aux achats collectifs. Des infrastructures liées à des usages communs ont été mises en place : le hangar du Rosier pour le stockage des récoltes et des machines agricoles collectives ; (...)