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lundi 28 octobre 2019
21h - prix libre - concert de trans-pop pre-kraut post-disco maximaliste révoltée suivi de petits mixs pour continuer à danser.
Hyperculte avec le contrebassiste Vincent Bertholet, venu de l’Orchestre Tout Puissant Marcel Duchamp et la batteuse Simone Aubert, du groupe Massicot nous font le plaisir d’une étape sur leur tournée à l’ambazada, le 5 novembre. C’est le moment de partager une soirée de transe automnale ! (en début de soirée il y aura au Taslu une discussion avec leila al shemi sur la révolution syrienne , voir : https://zad.nadir.org/spip.php?article6667)
pour en savoir plus sur Hyperculte et se plonger dans leurs compositions avant la soirée :
https://hyperculte.bandcamp.com/
https://www.franceculture.fr/emissions/la-revue-musicale/la-revue-musicale-mercredi-25-mai-2016
https://gonzai.com/hyperculte-parfaitement-inecoutable/
Hyperculte est un duo suisse batterie-contrebasse. Un bon début pour jouer du jazz, ça. Sauf qu’Hyperculte n’en joue pas. Plutôt de la musique d’après l’apocalypse : panne d’électricité, machines en rade. C’est la fin du monde, reste à danser sur les décombres, en réinventant une musique tribale, voire mystique, ramenée à l’essentiel. Une batterie et une contrebasse pour se souvenir de la techno, de la house, du post-punk, du krautrock et de l’oubli de soi dans la transe. Deux voix (celle du contrebassiste Vincent Bertholet, venu de l’Orchestre Tout Puissant Marcel Duchamp et celle de la batteuse Simone Aubert, du groupe Massicot) pour asséner des textes comme des appels à l’insurrection. Le retour de l’électricité pour des effets stroboscopiques. La musique d’Hyperculte évoque Can (le rythme répétitif) ou Stereolab (le chant), mais avec une tension élastique et des tourneries instrumentales qui n’appartiennent qu’à eux. Prête à exploser, et à devenir... hyperculte.