Lors de la défense du chemin du Far Ouezt sur une barricade le lundi 26 novembre, 5 de nos camarades ont été arrêté.e.s par des gendarmes en civil qui les ont tabassés avant de les embarquer et de les placer en garde à vue jusqu’à leur comparution immédiate pour trois d’entre eux. Une de nos camarades a été relâchée sans poursuites et un autre pote attend son procès dans 6 mois sous contrôle judiciaire. Nous avons tous et toutes vu les suites que la justice d’Etat a donné à ses arrestations en condamnant (...)