A lire l’article du Monde paru le dimanche 12 mai 2013 « Les militants de Notre-Dame des Landes tentent de disséminer leur mouvement. » on pourrait croire que s’attacher à répandre la puissance de la ZAD c’est « attendre de se faire jeter », faire du jonglage et des soirées contes en prenant soin de se dissocier des cagoules et des barricades, bref affirmer une identité non-violente. Le collectif NDDL Rouen rappelle un article déjà publié dans le même journal il y a quelques mois « Contre l’aéroport (...)