La semaine avant le 14 mars 2012, la situation s’est tendue : les medias se sont saisis d’une embrouille entre habitantEs pour faire un drame sur « comment les squateurs agressent les bons citoyens », Des articles alarmistes de la pref ont suivi, annonçant la venue de casseurs fous furieux de toute l’europe, une manif qui serait un carnage, un dispositif policier énorme (1600 flics, helicos, autopompes...). Dans les jours qui précédaient la manif, les flics controlaient les bagnoles tout autour de (...)