Récit subjectif de la balade sur le tracé du barreau routier, le samedi 3 février. On s’est retrouvé de bonne heure au bourg de ne Notre Dame des Landes avec des gens de tout horizon, une quinzaine-que dis-je ? une vingtaine !- de marcheur-euses avides de parcourir et de contempler ce que le Pouvoir veut anéantir sous des tonnes de béton. Vers Curette, au départ du tracé, on lit sur un panneau qu’un pylône haute-tension va être déplacé pour construire cette route maudite. Le panneau tombe au sol et (...)